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 Without the past, there would be nothing to think about | Claire

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Without the past, there would be nothing to think about | Claire Vide
MessageSujet: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire EmptySam 18 Nov - 23:07



Claire MacKenzie
Feat Karen Gillan



CARNET D'IDENTITÉ


△ nom : MacKenzie. Ce nom, je le tiens de mon père, mais c'est tout. Je ne sais rien de plus de ma famille paternelle, je ne suis même pas sûre que MacKenzie soit son véritable nom. Mon père a toujours refusé d'en parler à qui que ce soit. Y compris sa propre fille. △ prénom : Claire. Mon premier prénom, mon père l'a imposé sans rien vouloir entendre. Ma mère et moi supposons qu'il s'agissait d'une personne chère qu'il a connu autrefois, mais il n'a jamais lâché un mot. △ autre(s) prénom(s) : Margaret. Que je dois à ma grand-mère maternelle. △ Surnom(s) : Aucun actuellement. Mais petite fille on me donnait tout un tas de sobriquets allant de "mon petit coeur" à "toi là". △ date de naissance : Le 21 mai 1958. △ lieu de naissance : Alpena, Michigan. Une petite bourgade au bord du lac Huron, très agréable en été et en automne. Ma mère y vit toujours. △ Origines : Ecossaise du côté de mon père (d'après ce qu'il disait en tous cas), et québecoise du côté de ma mère. △ Taille : 1m80, je dépassais quasiment tout le monde au lycée. Un des nombreux héritages de mon père. △ Cheveux : roux, assez longs, épais, un peu ondulés. Les mêmes que mon père en fait. Il m'a laissé tellement de lui que tous les mystères qui l'entourent semblent me hanter à mon tour.△ Yeux : Bleus clair. △ lieu de résidence : Une petite maison à Mirkwood. J'ai grandit en pleine nature, hors de question de vivre en centre-ville. △ Études : Etudes de littérature anglaise et américaine à l'université du Michigan. △ métier(s), occupations : Professeur d'anglais au collège et au lycée. J'ai toujours adoré écrire, inventer des univers, des personnages, mais aussi lire de la littérature fantastique. Pour une adolescente pleine de questions sans réponses, surprotégée, écrire est et demeure toujours une besoin, un échappatoire. Devenue adulte, j'ai senti le besoin de partager mes connaissances et ma passion. △ orientation sexuelle : Bisexuelle. Je ne distingue pas le genre des gens, je suis attirée par leur personnalité, leur tempérament. △ statut social : Célibataire. Vieille fille disent les mauvaises langues. △ groupe : Return of the jedi. △ rang : Le Messager



△ Profil psychologique : J'ignore si c'est parce que j'ai été une enfant puis une adolescente surprotégée par mon père, mais je suis quelqu'un d'assez méfiant de nature, mais aussi curieuse et ouverte aux autres. Je sais, ça peut paraître un peu contradictoire. J'aime les gens. J'aime les écouter me raconter leur histoires, leurs petits tracas, les accompagner, les rassurer quand c'est nécessaire. En fait j'aime avoir des amis, j'en ai même un besoin maladif après des années de solitude. J'ai également tendance à m'attacher énormément aux gens qui me témoignent de la gentillesse, tout en essayant de ne pas devenir collante, ce qui fait que j'ai de l'affection pour tous mes élèves ou mes voisins, ainsi que l'incapacité de vraiment détester qui que ce soit.
Mais en contrepartie, il y a cette méfiance que m'a inculqué mon père, et qui ne me quitte pas. Cette tension qui me fait imaginer que n'importe qui peut me menacer, ou être capable du pire. Je sais, ça s'appelle de la paranoïa. Du coup tout en étant ouverte aux autres, je me retranche dans la forteresse de mon jardin secret. Je ne me livre pas. Je ne parle de presque rien de personnel ou qui puisse donner des indices sur ma famille ou mon passé. J'ai quelques bonnes raisons mais j'y reviendrai. Mais s'en devient parfois ridicule. Par exemple, remplir mon adresse sur les formulaires officiels me fait toujours grincer des dents.
Cela fait aussi que j'ai peur de beaucoup de choses. Mais surtout que j'extrapole le moindre grincement suspect dans la charpente de ma maison. C'est épuisant.

J'ai une passion pour presque tout ce que je ne connais pas. Apprendre des choses, peu importe lesquelles, est une drogue pour moi. Réelles ou pas d'ailleurs. Je ne hiérarchise pas le savoir. Je peux me targuer d'en connaître autant sur le règne d'Elizabeth Ière que sur le peuple Fremen dans l'univers de Dune. Connaître le nom de tous les os du pieds où citer les treize nains du Hobbit. Oui, ça n'a parfois aucun intérêt je sais. Mais c'est comme un mantra. Apprendre est un carburant efficace pour faire tourner mon imagination et animer mon stylo.
J'ai également un besoin irrationnel de ne pas rester sous un toit trop longtemps. J'aime savoir le ciel ou le couvert des arbres au dessus de ma tête. C'est comme s'aérer la caboche pour mieux clarifier et faire circuler ses idées. Elles se bousculent tellement vite et fusent parfois tellement au hasard que j'ai l'impression qu'elles ne sont pas miennes. Quand ça m'arrive, hors de question de rester enfermée.



△ Caractéristiques physiques particulières : Je suis grande. Oui ça parait anodin mais être une grande perche en grandissant a parfois ses inconvénients. Parfois, les garçons que je dépassais un peu prenaient cela comme une atteinte à leur virilité et me lançaient des regards mauvais ou des mots désagréables. Depuis, j'en viens parfois à haïr ma taille. Autre soucis, mes cheveux roux. Certes, j'ai un nom qui les justifie un peu, mais du coup j'ai écopé de quelques railleries à l'adolescence quand cela venait accentuer mon acnée ou mes joues rouges. Cumulez les deux. Je suis comme un phare au milieu de la nuit. Une grande bringue avec une torche en guise de chevelure. Impossible de me rater. Heureusement, c'est un avantage quand on est professeur, ça donne un certain charisme et une présence qui impressionne parfois.
Après, si on s'attarde sur les détails, j'ai quelques cicatrices d'acnée dans le dos, quelques grains de beauté et une tâche de naissance dans le creux du coude. Rien qui concerne qui que ce soit qui ne soit intime avec moi.

△ Autre chose à savoir sur ton personnage :
Ma maison ressemble à la fois à un patchwork et à une caverne d'Ali Baba. C'est mon antre sacrée, et ceux qui y pénètrent peuvent se considérer comme privilégiés. Mélange de livres, de cassettes vidéos, de tas de petites babioles glanées deça delà, des posters et des reproductions de tableaux aux murs. Je suis une femme hétéroclite.

J'ai une grave allergie aux noix (pour mon plus grand malheur car je me souviens que c'est délicieux), et une peur panique des araignées. Un comble pour quelqu'un qui a grandit sur les rives boisées du lac Huron.

Je traine souvent l'héritage de mon père comme un boulet. Et je ne parle ni de mes cheveux roux ni de ma grande taille. Je ne parle pas non plus de ses secrets et des doutes continuels que j'ai sur ses origines. Enfin si, en partie. Selon lui, je lui ressemble trop pour mon propre bien.
Ce que je veux dire par là, ce sont ces choses qui m'arrivent parfois sans raison. Ces troubles et ces migraines. Il y a les pensées qui se bousculent, les objets qui tombent des meubles sans raison, les flashs qui m'aveuglent parfois quand je touche un objet. Toujours suivis d'une fulgurante douleur à la tête, et parfois de saignements de nez. Ma mère a toujours pensé à des troubles neurologiques. Vu le mélange de frayeur et de détermination dans les yeux de mon père quand il me voyais chanceler, j'ai toujours pensé qu'il y avait plus. Et que les réponses étaient quelque part dans son passé. Il m'interdisait d'en parler, d'y réflechir, il a toujours refusé avec violence de m'emmener voir un médecin. Personnellement, j'y pense comme mon petit handicap.





Biographie officielle



Alpena, Michigan. 1964.

Le souvenir le plus ancien que je possède, bien qu'un peu flou et à la chronologie plus que douteuse, est une dispute parentale. Mon père et ma mère en train de se quereller. Sans doute leur sujet favori. Les secrets. Les dissimulations.
En un sens, mes parents n'auraient pas pu trouver pire partenaire pour le reste de leur vie. Ma mère, Sally, avait été élevée dans un famille très catholique, qui érigeait l'honnêteté comme la vertu première. Mon père, Allen, taisait toute histoire à propos de son passé et avait promu les cachotteries au rang de discipline olympique. Et les secrets, leur couple en était truffé. Je me souviens très clairement du tic qu'avait mon père quand il mentait, et qui rendait ma mère complètement folle. Il grattait une cicatrice de brûlure à l'intérieur de son bras. Bien sûr, personne n'a jamais su comment il l'avait obtenue.

N'allez pas croire pour autant que mon enfance fut malheureuse. Pas le moins du monde. Nous vivions dans une petite maison au bord du lac, au milieu des frondaisons. Je pratiquais de façon intensive l'escalade de branches, la collection de feuilles et la construction de cabanes. Toutes des activités que je partageais avec mon père. Ma mère était plus traditionnelle, elle se cantonnait à la maison. C'était aussi un des sujets qui déplaisait à ma mère. Mon père était surprotecteur, mais entretenait également avec moi une relation fusionnelle, exclusive. Il ne laissait jamais ma mère percer notre petite bulle. Et pourtant, ils s'aimaient. Je le voyais bien. Mais il y avait tant de problèmes entre eux que je reste encore aujourd'hui stupéfaite qu'ils soient restés ensemble jusqu'au bout.

Alpena, Michigan. 1974.

L'année où, avec mon père, tout a changé. J'avais seize ans à l'époque, et je me souviens qu'il était devenu réticent à me laisser sortir seule bien avant. Cependant, si son petit manège durait depuis des années, c'est là que j'ai enfin compris pourquoi.
Il enquêtait sur les familles de mes amis, m'accompagnait et venait me chercher au lycée. Mais évitait également mes professeurs, mes amis, les voisins. S'en est devenu si obsessionnel que même ma mère lui a conseillé d'aller voir un médecin. ce qu'il a refusé bien entendu. Ce que ma mère n'avait pas remarqué, c'est que sa psychose tournait essentiellement autour de moi.
A seize ans, j'avais acquis une maturité suffisante pour mettre bout à bout plusieurs faits et ainsi mettre au point un embryon de réponse. J'avais régulièrement des migraines et des flashs en touchant certains objets, et mes pensées tourbillonnaient en tous sens, m'envoyant des sons et des images trop fugaces et rapides pour être comprises. Il m'arrivait aussi de saigner du nez. De plus en plus souvent. Et quand cela m'arrivait en public, mon père devenait blanc comme un linge avec cette évocation. Quand j'essayais de comprendre ses regards, je voyais souvent de la peur, mais aussi une bonne dose de culpabilité. J'ai longtemps cru à une maladie neurologique qu'il craignait de m'avoir transmis.

Le fait est que son attitude a brisé la complicité et la confiance que j'éprouvais pour lui, et ce, presque définitivement. La rancoeur qui me tordait les entrailles était mêlée de frustration. C'est cette même année que j'ai commencé à noircir des pages et des pages avec mes mots et mes idées. Je sentais le besoin de faire exploser mes émotions sur papier. C'est mon professeur d'anglais de l'époque, Mr Book (oui je sais) qui a eu la curiosité de lire quelques fois par dessus mon épaule et de m'encourager sur cette voie. S'il n'entendait rien à mes écrits fantasques, il se plaisait à dire que j'avais du talent, et au moins autant de passion. A l'heure où mon père, héros de mon enfance, se mourrait dans mon coeur, Mr Book arrivait à point nommé pour l'aider à garder le cap. C'est sans doute grâce à cet homme merveilleux, qui enseigne encore aujourd'hui, que je me suis dirigée vers des études de littérature.


Ann Arbor, Michigan. 1979.

Je fêtais mon vingt-et-unième anniversaire avec mes amis de promo. Au programme, de la bière, de la musique et quelques bougies à souffler. Le tout dans le salon de notre colocation. Et en perspective, un appel très malaisant de mon père, de longues minutes égrénées à échanger des banalités sur un ton contris. Et un autre, d'une maison d'édition à qui j'ai envoyé mon premier recueil de poème. Le tout en espérant ne pas subir les contrecoups d'un malaise qui m'enverrai au pieux en quelques minutes, à roupiller le jour de mon anniversaire.

Les deux appels sont arrivés. L'un a été laborieux, l'autre moins. Pas ceux que vous croyez.
Première déception littéraire, manuscrit refusé. On a beau s'y attendre, ça déçoit toujours. Le bon côté, c'est que mon père a saisi une opportunité pour me consoler et a donc arrêté d'attendre un compte rendu de mon état de santé et des doutes que je pouvais avoir sur mes amis. Pour un temps, c'est même allé un peu mieux entre nous.

Je ne me suis pas laissée démonter. J'ai repris le travail, plus dur encore. Je comptais écrire, encore, jusqu'à trouver l'idée. Le sujet. Le texte qui me paraitrai à la fois brillant, poétique, percutant. C'est aussi à ce moment là que mes malaises ont empirés du à mon état de fatigue et de stress. J'ai alors remarqué que des choses étranges se passaient parfois quand je me concentrais trop longtemps sur quelque chose en particulier. Pas question d'y voir plus loin. Pas question de laisser quelque chose d'aussi futile me détourner de mes objectifs.

Portland, Maine. 1981.

L'océan. C'était la première fois que je le voyais.
L'immensité bleue et luisante. Différentes de l'immensité verte et grise des forêts et des lacs du Michigan.

Après plusieurs tentatives, il était évident que ma carrière d'écrivain devrait attendre un peu. En attendant, enseigner me paraissait une bonne alternative. N'est pas écrivain qui veut. Mon diplôme en poche, j'ai finalement quitté le Michigan pour le Maine. De quoi m'émanciper pour de bon. Paradoxalement, je n'ai jamais été si proche de ma mère, enfin débarrassée de l'influence de mon père, et de facto, les relations entre mes parents étaient bien meilleures. Bref, tout allait au mieux.

C'est bien entendu ce moment qu'il a choisi pour mourir.
Cancer du cerveau. Apparemment il le couvait depuis des années.
Inutile de dire que ma mère et moi avons été dévastées. J'étais seule dans mon petit appartement de Portland quand j'ai appris la nouvelle. Et c'était comme si sa mort avait fait sauter un barrage en moi. Le malheur est un stimulant étrange. Une crise de larmes plus tard et toutes les ampoules de l'appartement avait sauté et les placards avaient vomi leur contenu autour de moi. Mais cela, je m'en suis rendue compte après m'être réveillée de mon évanouissement, du sang coulant sur mes lèvres et mon menton.

Les phénomènes étranges autour de moi se sont multipliés après cela. Mais sa mort avait réveillé autre chose en moi. La curiosité. La soif de savoir. De comprendre. Etrangement, ce n'est que quand quelqu'un nous quitte que nous nous posons les bonnes questions. Celles qu'on ne se posait jamais avant.
J'ai compris qu'il savait ce qui m'arrivait. Qu'il connaissait ce phénomène. Peut-être même qu'il l'avait déjà vu auparavant. Ou même expérimenté lui-même. Le tout était de comprendre comment. Une seule certitude, la réponse se trouvait dans son passé.

Cette nouvelle obsession en tête, j'ai débuté les recherches.

Hawkins, Illinois. 1984.

Des années de recherche. Choux blanc à chaque fois. Ou presque. Deux informations avaient fini par voir le jour. La première, que Allen MacKenzie n'existait pas avant 1954, soit quatre ans avant ma naissance. La seconde, un mot, ou plutôt une ville. Hawkins. Même si d'après les archives de la ville mon père n'y avait jamais vécut, j'ai acquis l'intime conviction qu'Hawkins avait été un chapitre conséquent de sa vie. Malgré les réticences de ma mère qui ne souhaite rien plus que de me voir rentrer à Alpena, j'ai décidé de m'installer dans l'Illinois.

Comme le hasard fait bien les choses, il est devenu évident après une année passée ici, qu'il s'y passe des choses étranges. Différent de ce qui m'arrive ? Cela reste encore à déterminer. J'ai juste effleuré du bout du doigt les mystères qui hantent les bois de la ville. Une seule certitude. Deux en fait. Les réponses sont là. Et cela va plus loin que l'histoire et les secrets de mon père. Appelez ça une intuition ou de la clairsentence. Comme vous le souhaitez. En tous cas, je reste. Et je ne partirai pas avant d'avoir déterré tout ce qu'il me plaira.




Sinon, qui s'occupe de toi ?

Prénom : Bernadette ^^
Pseudo(s) : Seli
Âge : 22 ans
Anniversaire : 21 mai
Pays : France
Comment as-tu connu le forum : forumactif
Fréquences de connexions : autant que possible. Disons une fois par jours, mais pas forcément le temps de rp aussi souvent.
Commentaire(s) super forum !!
J'ai lu et j'accepte le règlement



Dernière édition par Claire MacKenzie le Lun 20 Nov - 19:54, édité 11 fois
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InvitéAnonymous

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Without the past, there would be nothing to think about | Claire Vide
MessageSujet: Re: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire EmptySam 18 Nov - 23:44


Bienvenue à toiiiiii !

Bon courage pour ta fiche, et à plus tard je l'espère. Wink
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InvitéAnonymous

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Without the past, there would be nothing to think about | Claire Vide
MessageSujet: Re: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire EmptySam 18 Nov - 23:51


Merciiiiiiiiii Without the past, there would be nothing to think about | Claire 3447408207
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InvitéAnonymous

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MessageSujet: Re: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire EmptyDim 19 Nov - 0:16


KARREEEEEEEEN **
Bienvenue !
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InvitéAnonymous

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MessageSujet: Re: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire EmptyDim 19 Nov - 0:57


bienvenue et bon courage pour ce qu'il reste de ta fiche Without the past, there would be nothing to think about | Claire 3447408207
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InvitéAnonymous

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MessageSujet: Re: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire EmptyDim 19 Nov - 1:04


Merci vous deux Without the past, there would be nothing to think about | Claire 2843751187
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Steve HarringtonSteve Harrington


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MessageSujet: Re: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire EmptyDim 19 Nov - 8:44


Bienvenue ici et bon courage pour le reste de ta fiche Without the past, there would be nothing to think about | Claire 2237717398 Si tu as des questions, n'hésite pas Without the past, there would be nothing to think about | Claire 3447408207
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MessageSujet: Re: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire EmptyDim 19 Nov - 9:23


Welcome welcome professeur j'espère que votre séjour parmi nous vous plaira et que vous ne croiserez pas trop de démogorgon Without the past, there would be nothing to think about | Claire 693866018

Bon courage pour la fichette Without the past, there would be nothing to think about | Claire 2237717398
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MessageSujet: Re: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire EmptyDim 19 Nov - 10:22


Merci, chers futurs élèves Cool
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InvitéAnonymous

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MessageSujet: Re: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire EmptyDim 19 Nov - 10:32


Dame Seliiii /pan Without the past, there would be nothing to think about | Claire 693866018

Je te souhaite la bienvenue sur le fow Without the past, there would be nothing to think about | Claire 2843751187 & bon courage pour la suite de ta fiche ! Without the past, there would be nothing to think about | Claire 2237717398
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MessageSujet: Re: Without the past, there would be nothing to think about | Claire   Without the past, there would be nothing to think about | Claire Empty


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