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 How wonderful to be alive — Treize

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InvitéAnonymous

Invité




How wonderful to be alive — Treize Vide
MessageSujet: How wonderful to be alive — Treize   How wonderful to be alive — Treize EmptyMar 19 Déc - 19:56



Treize
Feat Thomas Dekker



CARNET D'IDENTITÉ


△ nom : Inconnu △ prénom : Treize △ autre(s) prénom(s) : Aucuns △ Surnom(s) : 013 △ date de naissance : 11 avril 1955 △ lieu de naissance : Laboratoire d’Hawkins △ Origines : Très probablement américaines △ Taille : 1m77 △ Cheveux : Châtains foncés △ Yeux : Vert eau tirant sur le bleu selon la lumière △ lieu de résidence : Dehors △ Études : Aucunes △ métier(s), occupations : Aucuns △ orientation sexuelle : De l’amour ? C’est quoi l’amour ? △ statut social : Célibataire △ groupe : Staying Alive △ rang : La tête à l'envers



△ Profil psychologique : La peur, c’est ce qui le caractérise, Treize a peur du noir, peur quand les lumières s’allument, peur du silence autant que du moindre son. Il est en fait, beaucoup trop sensible au moindre changement dans son environnement, à la plus petite variation de son rythme de vie. Il faut dire que des variations, il y en a peu au laboratoire, il n’y est pas vraiment habitué. Aussi se laisse-t-il facilement distraire par le moindre détail différent qu’il remarque. Un simple changement de cravate peut tout de suite attiser sa curiosité naturelle, et perturber les tests que l’on tente de lui faire subir. Observateur et ingénieux, Treize se laisse pourtant souvent guidé par son instinct plutôt que par ce qu’il peut voir ou entendre, et ça lui réussit en général assez bien. Il manque par contre de patience et ne connaît pas assez le monde pour être autre chose qu’un grand naïf, mais on ne peut pas lui reprocher de ne pas être sincère. Qu’est-ce que le mensonge, d’ailleurs ? S’il avait plus de vocabulaire, ce serait sans aucun doute quelqu’un de bavard, mais, trop limité pour le moment, il s’abstient souvent de parler. Malgré ce que le monde lui a offert jusque-là, Treize aime la vie, il aime les gens, et peut tisser des liens particulièrement forts avec les animaux. Minutieux et tenace, il fait toujours de son mieux pour accomplir ce que l’on attend de lui, même s’il a souvent du mal à s’en prendre physiquement aux gens.

Le temps peut-être long lorsqu’on est enfermé nuit et jour, mais Treize peut compter sur son imagination débordante pour le faire passer. Même si celle-ci connaît un peu les même restrictions que son vocabulaire. Impossible de rêver d’un extérieur qu’il n’a jamais vu, l’univers du jeune homme est fait de salles de test, de longs couloirs, de bain d’isolation sensorielle, et du void, évidemment. Il aime dessiner, mal, et possède sinon un nombre incalculable de jeu de puzzle et de casse-tête, qu’il a tous terminé au moins une fois. Imprudent et crédule, il semble tout à fait inadapté à la vie en dehors des murs du laboratoire d’Hawkins. Il ne souhaite d’ailleurs pas le quitter, parce qu’il n’a pas vraiment idée qu’un ailleurs existe, derrière les doubles portes blindées de sa prison. Treize reste cependant loin d’être quelqu’un de simple que l’on pourrait décrire en quelques mots, il y a cette peur qui l’habite, mais aussi beaucoup de colère sourde qu’il n’est pas capable d’exprimer. En devenant adulte, il s’est bien rendu compte que sa situation n’avait rien de normale, mais si tel est vraiment le cas, il ignore où se trouve la norme.

△ Caractéristiques physiques particulières : Treize est vraiment très mince, il n’a pas un poil de graisse dans le ventre, mais pas de musculature particulière non plus. Sa peau ne semble avoir souffert d’aucune blessure, même pas une écorchure aux genoux comme ça arrive souvent chez les enfants. Il possède un tatouage indiquant 013 près du poignet gauche, au cas où on oublierait un instant qu’il est autre chose qu’un rat de laboratoire. À part ça, peu de chose le distingue du reste du genre humain, si ce n’est son regard et ses expressions un peu… enfantine ? Treize voit tout avec un œil neuf, il est facilement effaré ou surprit, et tout ce qui lui passe par la tête se lit immédiatement sur son visage. Il n’est pas fait pour cacher les choses.

Au niveau du style vestimentaire, il s’en moque totalement. Pour l’instant, c’est blouse d’hôpital, et après ce sera ce qu’il pourra bien trouver. Pareil pour sa coiffure à laquelle il ne prête aucune attention, même si, il faut avouer, ce côté décoiffé lui va plutôt bien.

△ Autre chose à savoir sur ton personnage : Treize a vraiment de très nombreux pouvoirs psychiques, ses capacités les plus tape-à-l’œil sont certainement la télékinésie et la biokinésie, qui lui permettent d’interagir respectivement sur la matière et les corps d’être vivants par la seule force de son esprit. Il possède également une perception extra-sensorielle, qui lui permet d’obtenir diverses informations sur des gens rien qu’en les voyant en photo, par exemple. Il peut également entrer dans le void, un état psychique qui lui permet de communiquer avec d’autres personnes ou de simplement les écouter et les observer. Même sans le void, il peut utiliser ses capacités pour brouiller les ondes permettant de communiquer, ou faire passer des messages directement de son esprit à un téléphone ou une radio. Il a également une grande capacité d’imitation, son sens de l’observation lui permet de reproduire les gestes ou les paroles avec une certaine aisance.



Biographie officielle



△ Classic fairy tales have always been scary and dark

« C’est bien, mon garçon, c’est très bien. »

Ah bon, il n’était pas puni ? Treize avait tout juste deux ans et demi, et il venait d’arracher des mains de l’infirmière venue le vacciner la seringue qu’elle avait soigneusement préparée. La dite seringue flotta quelques instants dans les airs, près du plafond, avant de tomber par terre. Sous les regards ravis et étonnés de la poignée de scientifiques présents. Le petit garçon n’eut pas vraiment l’occasion de célébrer sa victoire, une goutte de sang perla sous son nez, et il se laissa aller sur son siège, endormi. Est-ce là que l’histoire commença ? Non, elle débuta bien avant, quand une femme travaillant pour la CIA tenta de dénoncer un nouveau projet ayant pour but de développer les techniques de manipulation mentale, mieux connu sous le nom de code MK-Ultra, avant de disparaître mystérieusement. Ce qui est advenu de sa mère, Treize n’en avait aucune idée, il ignorait aussi tout de ses capacités et des attentes qu’elles engendraient. Pendant qu’on le ramenait dans sa chambre, il rêvait plutôt de ses peluches et de ses cubes que de tout ce qu’il pourrait un jour faire.

À partir de ce moment-là, les tests et les entraînements s’enchaînèrent, parfois concluants, d’autres fois moins. Treize grandissait, loin du monde, et ces capacités se précisaient avec le temps. Lui n’avait pas tellement conscience de la fascination et de la crainte qu’il pouvait déclencher. Il avait toujours eu un pouvoir, toujours été enfermé, et ce quotidien était tout ce qu’il connaissait de la vie. Les choses changèrent sensiblement alors qu’il avait aux alentours de quatorze ans, un jour ordinaire, pendant qu’il était dans sa chambre, une alerte se mit à retentir. Attiré par le bruit, Treize était sorti, et, confusément, il comprit que quelqu’un essayait de s’enfuir, avant qu’on ne l’enferme à nouveau. Quelqu’un comme lui. Pour lui qui s’était toujours pensé seul, ce fut une révélation. À partir de là, le jeune garçon se mit en tête de trouver ces « autres comme lui », arpentant le void dès qu’il le pouvait, appelant, cherchant. Il ne connaissait rien de ces gens, même pas un nom ou un visage, mais il les imaginait un peu comme lui, le crâne rasé, et portant une blouse blanche. Il se passa des mois et des mois sans que Treize ne trouve rien, mais un soir, alors qu’il ne s’y attendait plus, il rencontra quelqu’un dans le void. Quelqu’un comme lui.

C’était étrange, contrairement aux gens qu’il avait pu observer jusque-là depuis les tréfonds de son esprit, celui-ci le voyait aussi. Ils pouvaient se parler, mais ils passèrent plus de temps à s’observer. Le schéma se répéta alors, tous les jours, ils se retrouvaient. Faute de connaître suffisamment de mots pour se parler, ils en inventaient. Ils ne se nommaient pas, ils ne savaient pas ce qu’ils étaient exactement, mais plus le temps passait, plus leur lien se renforçait. C’était le meilleur moment de la journée, quand ils se rejoignaient, ce qui les faisait tenir. Avec le temps, d’autres personnes les rejoignirent, tous intimidés et hagards au début, puis plus ouvert. Ils devinrent relativement nombreux, si bien que certains s’enhardirent, ils voulaient partir. Partir ? Mais pour aller où ?

△ The Portal

La notion de temps a toujours été un peu nébuleuse pour Treize. Bien sûr, il connaissait un certain rythme. Il y avait les tests, les repas, les nuits, cependant quel jour était-on exactement quand les autres comme lui décidèrent de passer à l’action ? Il l’ignorait, mais entre temps il était devenu un adulte, l’un des plus vieux de la bande, et pourtant le plus terrorisé. Il ne savait pas à quoi ressemblait l’extérieur, et si c’était pire encore qu’ici ? Ses camarades avaient beau dire que ça ne pouvait pas être pire, ils n’en savaient pas plus que lui. Et puis ils n’étaient pas malheureux ici, si ? Treize ne savait pas trop ce qu’était le malheur, mais ça devait forcément être pire.

« Ça ne va pas, mon garçon ? »

Le jeune homme leva les yeux vers le docteur Brenner, non ça n’allait pas, il sentait que son monde allait changer à jamais, et ce n’était pas quelque chose de confortable.

« Partir… »
« Partir ? Tu veux partir ? »

Il fit vivement Non de la tête. Pas lui, les autres voulaient partir. Pourquoi ne comprenaient-ils pas ? Pourquoi ne voyaient-ils pas ce qu’il se tramait dans le void alors qu’ils l’observaient sous toutes les coutures dans ce monde-ci. Pourquoi ce qui lui paraissait comme évident ne l’était pas pour tous ces scientifiques qui l’entouraient pourtant en permanence ?

« Les autres ! »

Son cœur battait la chamade, il était en train de trahir ses camarades, mais c’était pour leur bien. Il ne fallait pas qu’ils partent, dehors, c’était effrayant et inconnu. Mais Brenner ne comprit pas. Personne ne savait qu’il était en contact avec les autres patients, et personne ne savait donc de qui il parlait. Puisqu’il était trop agité ce jour-là pour faire ce qu’on lui demandait, on le punit en l’enfermant en cellule d’isolement. Voilà tout ce qu’il avait gagné à vouloir aider. Et bien, puisque c’était comme ça, ils allaient voir. L’isolement avait le don d’exacerber la peur et la colère de Treize, et quand il rejoignit le void ce jour-là, il était prêt à faire sauter tous les murs. Canalisant sa douleur, il se joignit à l’effort collectif pour ouvrir une brèche quelque part, créer une sortie, un passage, peu importe vers où.

Le son des sirènes le fit revenir à la réalité, Treize avait mal, sa tête semblait comme prise dans un étau, et son nez saignait. Il dut s’aider du mur pour se lever tellement son corps était lourd et engourdi. Il s’était passé quelque chose, mais quoi ? Est-ce que toute cette énergie avait était dépensée en vain ? Pour lui, oui. Mollement, il prit appuis sur la porte fermée. Il n’avait plus la force de l’ouvrir, il n’atteindrait pas l’extérieur. Tant pis, c’était peut-être mieux comme ça

« Viens, vite, vite ! Il faut partir ! »

Treize manqua de basculer en avant quand la porte s’ouvrit à la volée, dehors, plusieurs autres comme lui couraient, l’air perdus. Encore sous le coup des efforts qu’il avait fournis, il les suivit, jusqu’à se rendre compte qu’ils tentaient tous de monter. Pourquoi ? Le passage était en bas, il le sentait. Alors il se sépara du groupe, et descendit. Dans les sous-sols, il faisait sombre et il n’y avait plus personne. Ce qui pouvait se comprendre, l’air était chargé et difficilement respirable, Treize sentit une présence aussi, comme si on l’observait d’il-ne-savait où, mais il continua. Arrivé au portail, il s’approcha avec crainte. C’était étrange, mais l’extérieur devait l’être, non ?

△ Wide Wild World

Le froid le saisit aussitôt une fois de l’autre côté, ça et la certitude de ne pas être le bienvenu ici. Alors c’était ça, l’extérieur ? Treize suivit les couloirs qu’il avait toujours connus, retourna dans sa chambre, qui était… pareille, mais en différent. Il n’y voyait pas grand-chose, mais comprit vite que la vraie issue était bien vers le haut. Trouvant les escaliers, il monta, étonné quand même de ne croiser personne. Dehors il observa le ciel pour la toute première fois, un ciel gris et menaçant, mais fascinant quand même. Pieds nus, il suivit la route, et une fois les barrières du laboratoire passées, il fut attiré par les formes étranges des arbres alentours. Il se perdit dans cette forêt pendant des jours, sans eau ni nourriture, glacé jusqu’au os, et pire que tout, il n’était pas seul. Une bête venait régulièrement roder près de lui, avec ses pouvoirs, il la repoussait à chaque fois. Mais la bête n’était pas stupide, elle venait le titiller de temps à autre, attendant qu’il s’épuise. Perdu, Treize commençait à abandonner tout espoir, quand un trou lumineux dans le tronc d’un arbre attira son attention. C’était comme le passage qu’il avait emprunté pour venir, en plus petit, mais il lui suffit d’un peu d’efforts et de concentration pour l’élargir assez et le traverser.

Il faisait sombre encore, mais bien plus doux, et surtout l’air était respirable. Treize observa d’un air ébahi le halo lumineux qui pointait à l’horizon, le soleil se levait pour la première fois devant ses yeux, et c’était véritablement magique. Est-ce qu’il était vraiment à l’extérieur cette fois ? Ce qui est sûr, c’est qu’il n’était pas beau à voir, pâle comme un linge, les yeux cernés de fatigue, l’estomac vide, le jeune homme partait avec quelques sérieux points faibles. Sans parler de sa blouse d’hôpital couverte de substances indescriptibles, et ses jambes nues et boueuses. Il n’allait pas manquer d’affoler les passants, mais Treize souriait. L’extérieur avait l’air d’être un endroit vraiment magnifique, et immense en plus. Ça allait lui prendre un moment, mais il était décidé à tout découvrir. C’est donc épuisé, mais le cœur remplit d’allégresse, que Treize se mit à prendre la route, sentant toujours le regard de la bête posé sur lui.





Sinon, qui s'occupe de toi ?

Prénom : Gaël
Pseudo(s) : Spencer
Âge : 20 ans
Anniversaire : 10 juillet
Pays : France
Comment as-tu connu le forum : Double compte de Jason Fitzgerald
Fréquences de connexions : Tous les jours
Commentaire(s) Prépare-moi une place chez toi, Will. J’arrive ! How wonderful to be alive — Treize 1032589467
J'ai lu et j'accepte le règlement Yep How wonderful to be alive — Treize 1867633568



Dernière édition par Treize le Ven 19 Jan - 12:54, édité 4 fois
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InvitéAnonymous

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MessageSujet: Re: How wonderful to be alive — Treize   How wonderful to be alive — Treize EmptyMar 19 Déc - 22:18


Héééé mince j'ai pas encore souhaité la bienvenue ><

officiellement donc bienvenue Treize et t'inquiète je fais déjà une place pour toi .

Je lirais bien ta fichette demain , là ce soir mon cerveau il fait "batterie faible" How wonderful to be alive — Treize 3926023650

Thomas Dekker j'approuve tant comme choix d'avatar How wonderful to be alive — Treize 3926023650 How wonderful to be alive — Treize 3649910765 How wonderful to be alive — Treize 487430357 How wonderful to be alive — Treize 3293012966 How wonderful to be alive — Treize 1943352392 How wonderful to be alive — Treize 2716424677 How wonderful to be alive — Treize 1032589467
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InvitéAnonymous

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MessageSujet: Re: How wonderful to be alive — Treize   How wonderful to be alive — Treize EmptyMer 20 Déc - 1:02


OMG J'ADORE TON CHOIX DE VAVA !!!! :O
- fan de Terminator en moi :D -
Amuses toi de nouveau parmi nous ^^
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InvitéAnonymous

Invité




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MessageSujet: Re: How wonderful to be alive — Treize   How wonderful to be alive — Treize EmptyMer 20 Déc - 12:10


Merci à tous les deux ! Je compte bien m'amuser avec ce petit gars, ça c'est clair How wonderful to be alive — Treize 3447408207

Content de voir que Dekker fait l'unanimité How wonderful to be alive — Treize 3649910765
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InvitéAnonymous

Invité




How wonderful to be alive — Treize Vide
MessageSujet: Re: How wonderful to be alive — Treize   How wonderful to be alive — Treize EmptyMer 20 Déc - 19:30



Bienvenue et bon courage pour ta rédaction de fiche How wonderful to be alive — Treize 351103108
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Steve HarringtonSteve Harrington


How wonderful to be alive — Treize Tumblr_p80z0ig2jv1vv0x0to4_400

△ Inscription : 10/09/2017
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△ Lieu de résidence : Une maison dans la forêt



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MessageSujet: Re: How wonderful to be alive — Treize   How wonderful to be alive — Treize EmptyMer 20 Déc - 20:08





Félicitations, tu es validé(e) !


Coucou How wonderful to be alive — Treize 487430357 J'ai beaucoup aimé la fiche de ton personnage How wonderful to be alive — Treize 3926023650 Et je trouve ça cool qu'il ait peur du noir, ça ne devrait pas arriver qu'aux enfants How wonderful to be alive — Treize 351103108 Bon jeu avec ce perso How wonderful to be alive — Treize 3447408207


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