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 Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer - Jim

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Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer - Jim Vide
MessageSujet: Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer - Jim   Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer - Jim EmptyDim 28 Jan - 18:29






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Type du sujet : [] Flash-Back [x] Présent
Date du rp : le 16 janvier 1985
Matin, après-midi, soir : Début de la nuit
Météo (approximative) : Très fraiche avec risque de chute de neige dans la nuit
Statut du sujet : [] libre [x] privé
Statut du rp : [x] en cours [] terminé
Le maître du jeu peut débarquer à l'improviste : [x] oui [] non
Commentaire :











Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer...
Jen & Jim

Il était tard… très tard, les derniers clients venaient de partir, une bande de potes qui avait célébré l’anniversaire d’un d’entre eux. Un peu éméchés après avoir pas mal bu, mais pas méchant pour autant. Jen avait l’habitude un peu de ce genre de client, et de finalité. Tant qu’ils demeuraient corrects, qui ne gênaient pas réellement les autres tables, elle n’avait rien contre un peu d’animation dans la salle. Elle aimait y apporter d’ailleurs son petit grain de sel. Bref cela avait été un bon service mais il fallait dire les choses comme elles étaient… Elle était bien épuisée. Cependant elle ne pouvait pas renter de suite, elle était de fermeture, la dernière et donc elle venait de verrouiller la devanture et s’occupait d’enregistrer la recette de la journée pour ensuite la ranger dans le coffre derrière. Son patron demain matin, viendrait prendre tout ceci et le déposer comme toujours à la banque.
Elle devait aussi s’assurer de l’état nickel de la cuisine, que tout soit bien rangé, en ordre et faire l’inventaire rapide de ce qui restait dans la chambre froide. Encore une petite heure de travail au max. Après toutes ses responsabilités, elle fit le tour de la salle. Vérifiant de la propreté des tables. Et que les chaises étaient bien rangées afin que demain matin très tôt la première équipe nettoie à fond le sol.
Elle soupira d’aise, retira l’élastique qui retenait ses longs cheveux bruns en une queue-de-cheval haute et laissa ses longues mèches tomber en cascade sur ses épaules fatiguées et contractées par l’intensité du service de ce soir. Elle avait aussi un peu mal dans les jambes, c’est qu’elle avait accompli en fin de compte du bon boulot, c’est ce qu’elle aimait se dire pour rester positive.
Bon… Bah elle n’avait plus qu’à partir non .

Elle récupéra sa veste dans les vestiaires, retirant sa chemise et sa jupe droite de service qu’elle fourra dans un sac de linge sale qui partirait à la société de blanchisserie. Elle s’habilla de son jean, son haut, son pull des plus simples et enfila sa veste. Elle ferma son casier, mit son sac sur l’épaule et armée des clefs du restaurant, elle se dirigea vers la sortie arrière pour partir comme d’hab.
Cette porte donnait sur une impasse, une ruelle qui débouchait sur les poubelles du resto, un endroit assez sombre, que les réverbères de la rue n’arrivaient pas à bien éclairer. Elle commença à franchir la porte, prête à se retourner pour la fermer et la verrouiller comme d’hab… sauf … qu’elle entendit un bruit sur sa droite. Face à la porte, clef en main, elle tourna la tête, se dévissa le cou un peu pour voir ce que s’était. Elle n’arrivait pas à voir, surtout qu’un des réverbères semblait défectueux, sa lumière s’abaissait, clignotait, grésillait. Elle fronça les sourcils, et s’avança doucement vers la rue.
Tout en marchant doucement sans bruit, elle fouilla dans son sac pour chercher son arme de défense. Elle avait toujours soit une bombe lacrymo, soit un pistolet qu’elle gardait pour le cas où… La nuit… elle préférait avoir ce qu’il faut, on ne sait jamais avec les gueules saouls.

Elle arriva presque au niveau du croisement quand brusquement, un corps d’un SDF à moitié boulotté tomba devant elle. Le sang gicla, aspergeant le sol et le bas de son pantalon. Jen poussa un hurlement et recula bien vite. Une ombre étrange passa furtivement juste au niveau du corps qui fut entrainé aussitôt. Un sifflement glacial, un bruit répugnant la fit partir en courant et retourner à l’intérieur du restaurant. Elle verrouilla la porte aussitôt et se réfugia dans le bureau du patron pour se jeter sur le téléphone. Tremblante et glacée, elle agrippa le combiné non sans mal et appuya sur les touches afin d’appeler la police.
Pendue au téléphone, elle perçut le sifflement encore et tourna un regard effrayé vers la petite lucarne donnant dans cette rue. Oui le bureau était un peu en sous-sol, éclairé par des petites fenêtres donnant sur le trottoir de la rue principal qui passait à côté du restaurant. L’ombre passa, masquant un instant la lumière orangée artificielle du lampadaire qui se mit aussi à grésiller frénétiquement. Ce sifflement… la terrorisa sans savoir à quoi elle avait à faire.
Ça sonnait encore dans le vide, la pauvre se mit à supplier que quelqu’un décroche :

Please… putain… décrochez !
Soudain quelqu’un, la jeune femme s’agrippa au téléphone et s’entendait presque hystérique :

Ho putain Dieu merci ! Je suis Jen Jackson, venez vite au Red Rooster Icehouse … I… Il y a eu un meurtre… j’ai vu un corps… et quelques choses l’emporter… Je crois que ça rôde encore autour… je me suis enfermée dans le restaurant… J…je sais pas ce que c’est… mais vient vite… Bredouilla-t-elle essayant d’être le plus clair alors que la panique la gagnait de plus en plus.

©️ Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart




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Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer - Jim Vide
MessageSujet: Re: Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer - Jim   Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer - Jim EmptyMar 6 Fév - 21:31


I really want to go outsideJen & Hopper
Hawkins était si calme avant. Parfois, Hopper regrettait cette période où son job consistait à ne pratiquement rien faire de ses journées. Aujourd’hui, il jonglait entre des disparitions inexpliquées et des affaires d’agressions, d’accidents ou de harcèlement. Les habitants d’Hawkins ignoraient pour l’existence du démogorgon mais celui-ci avait fait des victimes parmi eux. Sans parler des rixes entre cobayes et CIA. Hawkins était désormais devenue un vaste champ de bataille. Deux camps s’y affrontaient. Les expériences en fuite contre l’agence. Et pour pimenter le tout, des créatures cauchemardesques venaient s’infiltrer de temps en temps dans le coin pour rendre la panique encore plus massive.

Et s’il n’y avait que ça. Dernièrement, la vie de Jim était devenue incontrôlable. Une adolescente apparue de nulle part était venue lui demander un toit et sa protection en tant que tuteur. Cette même ado s’était révélée être une taupe de la CIA destinée à le piéger. Tout ça parce qu’il planquait Eleven, une expérience en fuite. Hopper protégeait la gamine depuis un petit moment déjà maintenant mais il faisait attention à ne surtout pas trahir la présence de la gosse dans les parages. Personne ne devait savoir, pour son propre bien. Car si l’agence venait à apprendre qu’elle était encore en vie et dans le coin, Eleven n’aurait plus que ses yeux pour pleurer et Hopper devrait à nouveau dire adieu à quelqu’un qu’il aimait beaucoup.

Ce soir, Hopper était resté tard au commissariat. Les pieds sur le bureau, les mains croisées derrière la tête, il observait le tableau. Sur celui-ci avaient été attachées des photos des disparus, des questions et des pistes avaient été ébauchées sur les coins. Jim disposait de quelques infos qu’il ne pouvait écrire là-dessus car il devait les cacher à son département. L’existence de l’Upside Down, des démogorgons ou encore de la CIA dans le coin. Un sacré lot d’infos que ses collègues n’avaient pas et qui devaient les gêner dans la résolution des enquêtes. Jim bossait donc deux fois plus dur pour combler les lacunes involontaires de ses coéquipiers.

Tout le monde était parti, il était le dernier présent dans le commissariat. A cette heure, généralement, plus personne ne débarquait. C’est précisément pour ça qu’il fut surpris d’entendre le téléphone sonner. Après un instant d’étonnement, Jim attrapa le combiné et fut agressé par une voix féminine, paniquée, déboussolée. C’était Jen Jackson, totalement dépassée par les événements. N’importe qui d’autre n’aurait jamais pris son discourt incohérent au sérieux. Un meurtre ? A Hawkins ? Le corps emporté ? Quelque chose rôdant autour des lieux ? Beaucoup trop pour le petit village paumé. Sauf que Jim savait. « J’arrive tout de suite ».

Aussitôt, le shérif raccrocha et se précipita. Il s’empara d’un fusil à pompe et d’une boîte de cartouche. S’il se retrouvait face à face avec le bestiaux, mieux valait être préparé et lourdement armé car ces saletés-là ne crevaient pas facilement. Hopper grimpa en voiture et fut sur les lieux en quelques minutes à peine. Le shérif fit le tour du bâtiment, repérant rapidement des traces de sang. Le fusil contre l’épaule, Hopper était prêt à tirer à tout instant. Mais comme il s’en doutait, les traces disparaissaient subitement. Quelqu’un venait de partir de l’autre côté. Une victime de plus à afficher sur son tableau. « Et merde ... ». Maintenant, il fallait retrouver Jen et la rassurer.

Hopper revint vers l’entrée du bâtiment. Il tapota contre la vitre de la porte et s’écria pour rassurer la jeune femme sur son identité : « Jen ? C’est Jim Hopper. Tu peux ouvrir ». Le shérif se passa une main dans la barbe, réfléchissant à ce qu’il allait dire. Comment l’expliquer ? Un fou furieux ? Non, Jen n’en dormirait plus la nuit et alerterait tout Hawkins. Une bête sauvage ? C’était encore la solution la plus plausible. Mais tout dépendrait de ce que la jeune femme avait vu. Hopper tapota encore contre la vitre, légèrement plus fort cette fois. « Jen ? Toujours là-dedans ? ».
© 2981 12289 0
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MessageSujet: Re: Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer - Jim   Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer - Jim EmptySam 10 Fév - 14:48







Le travail c'est la santé, sauf quand une grosse bête veut te bouffer...
Jen & Jim

Après quelques sonneries dans le vide, enfin une voix, une voix bourrue, masculine, un brin blasé même. Elle lui était plus que familière car Jen connaissait un peu trop la police avec la famille qu’elle avait à charge. Mais elle n’était pas là pour taper la causette, paniquée, elle se mit à balancer le tout de façon très confus. Elle tremblait, elle pleurait à moitié, elle déballa l’adresse, ce qu’elle avait vu dans un flot de propos assez fouillis, difficile d’être clair après avoir vu le vieux Frank coupé en deux justes devant ses yeux.
Mais grâce à Dieu Jim Hopper sembla percuter assez vite, et 4 mots rassurants sortirent de sa bouche :

« J’arrive tout de suite ».

Elle raccrocha tout fébrilement et planquée dans le bureau sans allumer la lumière, au cas où , elle ne voulait pas attirer la chose qu’elle avait cru distinguer, elle chercha des yeux de quoi se défendre. Elle repéra la batte de base ball de son boss, c’était un grand fan de baseball, il se vantait de taper quelques balles régulièrement et d’entrainer une équipe de gamin. Elle agrippa l’objet, le tenant comme office d’arme et se recula dans un coin de la pièce, le regard viré sur les ouvertures.
Est-ce qu’elle rôdait toujours ? Ou elle était partie ? En tout cas elle n’avait pas tellement envie de s’approcher d’une fenêtre pour regarder.

Combien de temps elle demeura là ? Elle l’ignorait mais cela lui sembla à la fois long et à la fois rapide. Elle refoula un cri en voyant une ombre passer devant la fenêtre au store baissé. Elle agrippa très fortement la batte et la leva au-dessus de son épaule. Cette ombre se déplaçait allant d’une fenêtre à l’autre sans s’arrêter. La projection de son ombre glissait aussi sur les murs et sur elle. Cela faisait le tour du restaurant… en fait… ça venait vers la ruelle, justement la porte de service. Jen lentement se déplaça le plus silencieusement possible, le cœur battant son regard s’accrocha sur cette porte. Le haut était vitré aussi et avait également un store. L’ombre s’arrêta là, Jen serra très fort ses doigts tellement forts que les jointures blanchirent alors qu’elle agrippait bien le manche. Elle n’était pas prête… non pas du tout, mais si ça rentrait… elle frapperait… Elle se mordit la lèvre pour ne pas émettre un son, même sa respiration… elle lui semblait trop forte, elle espérait que cette chose ne pouvait pas l’entendre… Et puis…
Ça heurta la vitre, le tapotement pourtant pas fort, lui arracha un sursaut et elle émit un petit cri de peur. Cependant une voix lui fit comprendre qu’elle ne risquait rien, étouffant un juron de peur, le cœur au bord des lèvres, elle abaissa sa batte et se précipita vers la porte:

« Jen ? C’est Jim Hopper. Tu peux ouvrir. Jen ? Toujours là-dedans ? ».

De ses doigts un peu fébriles par la trouille qu’elle venait d’avoir, elle manipula avec difficulté le verrou et réussit à le tourner enfin. Elle ouvrit la porte découvrant la silhouette imposante et haute du shérif.

Hopper ! Pour une fois que je suis vraiment contente de te voir ! Lâcha-t-elle avec toute la sincérité du monde. Pas qu’elle n’appréciait pas le shérif, Juste que d’ordinaire les fois où elle avait affaire avec lui, c’était à cause d’une des conneries de ses frères ou sa sœur.
Jetant un regard inquiet dans la ruelle et rassuré de sa présence armée qui plus est, elle se glissa par la porte pour jeter un regard là où elle avait vu la moitié du corps du pauvre SDF.

… Dis-moi que tu l’as vu ! Putain, s’il te plaît dit moi que tu l’as eu ! Puis elle se tourna vers lui, Jen n’était pas du genre à s’effrayer facilement, c’était une dure à cuir avec la famille qu’elle avait, mais cette fois, elle avait vraiment la trouille.



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