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 A new day, a new discovery

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A new day, a new discovery Vide
MessageSujet: A new day, a new discovery   A new day, a new discovery EmptyJeu 28 Déc - 13:43






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Type du sujet : [] Flash-Back [X] Présent
Date du rp : 12 Décembre 1984
Matin, après-midi, soir : Matin
Météo (approximative) : Il a neigé pendant la nuit, maintenant le soleil est de retour mais il fait froid.
Statut du sujet : [] libre [X] privé
Statut du rp : [X] en cours [] terminé
Le maître du jeu peut débarquer à l'improviste : [X] oui [] non
Commentaire :






Que c’était beau, Treize n’était pas sorti depuis un moment, d’après Alex, il y avait beaucoup de monde dans les rues en cette période de l’année, c’était encore plus risqué que d’habitude. Sur le coup, il n’avait pas compris ce que cette période avait de si particulier, mais maintenant il voyait un peu mieux. Une couche de neige recouvrait le sol, mais ce n’était pas ce qui attirait le plus son attention. Il y avait des décorations partout, dans les vitrines des boutiques, autour des maisons, et même dans la rue. Du rouge, du doré, du bleu brillants, des guirlandes, des personnages, des paquets cadeau et des flocons en mousse. Ça pétillait, clignotait, et brillait de partout. C’était bien simple, Treize ne savait plus où regarder, et se surprenait souvent à observer un décor pendant tout une minute sans faire un geste. Qu’est-ce qu’il se passait exactement ? Il n’en avait pas la moindre idée, mais tout le monde avait l’air de bonne humeur, même ceux qui semblaient travailler, alors, c’était une bonne chose, non ? Pourvu que cette période de l’année dure encore longtemps.

Il en était à observer un manège à chevaux, en se demandant quelle était son utilité exacte, quand une sensation de danger le prit à la gorge. Que se passait-il ? Affolé sans savoir pourquoi, Treize regarda autour de lui en tentant de maîtriser sa respiration et les battements affolés de son cœur. Il lui fallut quelques secondes pour le voir, Solal, un méchant du laboratoire. La terreur le prit aux tripes, il n’attendit pas de savoir s’il l’avait remarqué et fila au hasard. Par instinct, ses pas le menèrent vers la forêt, mais en dehors de ça il ne savait pas où il allait. Est-ce qu’il l’avait vu ? Cette question tournait dans sa tête, mais il était tellement paniqué qu’il n’arrivait pas à trouver la réponse. Pourtant, son sens de la déduction n’était vraiment pas mauvais en général. Dans le doute, il continua d’avancer, encore et encore, même si personne ne semblait le suivre. Sa course éperdue le conduisit jusqu’à un lac immense qu’il n’avait encore jamais vu, et après être resté sans voix devant ce paysage nouveau pendant un temps certain, il commença à se demander où il était tombé.

C’est en parcourant le terrain enneigé du regard que l’attention de Treize fut attirée par une maison non loin de là. Et quelle maison. Il n’en avait jamais vu d’aussi grande et majestueuse de toute sa vie. Il y avait de quoi héberger des dizaines de sujets du laboratoire là-dedans. Intrigué, le jeune homme fit le tour du muret, et arriva sur la route devant la propriété. Là, plusieurs camions stationnaient, et des gens entraient dans la maison, des cartons à la main. Treize avait tout compris, il lui suffisait de prendre un carton, et lui aussi pourrait se joindre à cette étrange procession. Il n’y avait personne autour des camions quand il arriva, il se prit donc un grand paquet et entra dans le jardin. Et quel jardin, là encore il n’avait jamais vu de tel, les haies bien taillées et les parterres entretenus faisaient comme des œuvres d’arts sous la neige. Il y avait aussi un bassin d’isolation sensorielle géant, que certains appelleront piscine, des coins pour s’asseoir, et toute sorte de merveilles. Le seul point noir que Treize aurait pu faire remarquer au propriétaire des lieux était que ça manquait de décorations rouges et or.

Arrivé à l’intérieur, Treize regarda autour d’un air fasciné, c’était grand, il y avait déjà pas mal de meubles d’installés, mais aussi beaucoup de cartons. Les gens s’affairaient dans tous les sens, installant les différentes choses, c’était très intéressant. Aux milieux des domestiques et des déménageurs, il remarqua un homme un peu différent. Il lui rappelait un peu le docteur Brenner avec son costume-cravate, mais avait un air bien plus doux. Il semblait être le chef d’orchestre de toute cette joyeuse ruche.

« Jolie maison. »

Lança-t-il, les yeux brillants, avant de déchirer le papier qui protégeait l’objet qu’il avait ramené avec lui. Il se rendit assez vite compte que c’était un grand cadre mouluré qui cintrait une jolie peinture. C’était beau, là encore, il resta un moment à le contempler, touché au fond de lui. Le propriétaire des lieux devait avoir un peu ses goûts parce qu’il aurait adoré vivre dans un tel endroit, entouré des toutes ces jolies choses.

« Joli dessin aussi. »

Les formes et les couleurs avaient toujours faites vibrer la corde sensible de Treize, il aimait dessiner lui-même. Mais ses œuvres étaient naïves, rien à voir avec celle qu’il regardait à présent, il suivit une ligne du doigt, tentant d’imaginer le geste derrière les traits de pinceau. Son regard fut ensuite attiré par les autres paquets que les gens avaient posés un peu partout. Il devait contenir d’autres surprises, non ? Il posa le cadre et en ouvrit un, qui était rempli à ras-bord de livres, ignorant les gens autour, il se mit à les feuilleter dans son coin.


Dernière édition par Treize le Sam 20 Jan - 12:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: A new day, a new discovery   A new day, a new discovery EmptyDim 31 Déc - 20:28


Bien qu’il passe le plus clair de son temps entre New York et Hawkins, Adam Wellington se retrouvait tout de même en ville depuis quelques jours. Les déménageurs n’espéraient pas recevoir un soutien de la part du grand patron au moment du chargement dans la grande pomme. Il préférait diriger les opérations au sein de sa nouvelle propriété de Hawkins plutôt que de se remémorer des souvenirs dans son Penthouse de Manhattan. L’homme pouvait être plutôt exigeant par moment et plusieurs de ses nouveaux employés le craignaient déjà. En investissant une petite fortune dans la construction de son manoir, de sa nouvelle entreprise ainsi que l’embauche d’une belle petite brochette d’employée, Adam permettait à la ville une grande possibilité d’emploi. L’économie de Hawkins allait surement perpétuée par l’aide du riche Wellington. Bref, Adam s’était levé aux aurores, avait fait son jogging matinal et s’était habillé pour rejoindre le manoir. On ne pouvait pas considérer son manoir comme étant familiale vu qu’il y vivait seul. Ses enfants étaient indépendants et ils vivaient toujours New York. Bien sûr, lors des évènements et des fêtes, il aurait assez de place pour recevoir tout le monde. Justement, il serait installé avant les fêtes, c’était parfait. Adam marchait le long des couloirs en dirigeant tout le monde pour être certain que tout était à sa place jusqu’à ce qu’il vit un jeune garçon assis en feuilletant des livres qui lui appartenaient et qu’il étala au sol. Le regard offusqué du propriétaire put se voir à des kilomètres. Wellington grogna en se stoppant face à lui. « Mais pour qui vous vous prenez ? Ces livres sont une collection originale importée d’Italie, comment osez-vous les poser sur le sol de la sorte…. Et pour qui vous vous prenez pour fouiller dans mes boîtes, si ce n’est pas pour mettre en place la décoration du manoir… » Il soupira de ses airs hautains, croisant les bras au passage.
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MessageSujet: Re: A new day, a new discovery   A new day, a new discovery EmptyLun 1 Jan - 14:45


Contrairement à ce qu’on pourrait croire, Treize savait lire. Il n’avait pas eu la chance de voir passer beaucoup de livres, mais avait reçu une éducation sommaire en anglais et en mathématique. C’était plus pour des raisons pratiques, afin de permettre certains tests, que par réel intérêt pour lui, mais quand même. Aussi, c’est avec un grand intérêt que le jeune homme s’était tourné vers cette splendide collection de livres, qui semblaient ouvragés avec autant de soin que le tableau qu’il venait de poser. Il en feuilleta un avec intérêt, puis le posa au sol et en sortit un autre. Rien que le bruit du papier, l’odeur, éveillait ses sens, tant et si bien qu’il ne vit pas le presque-docteur-Brenner approcher.

« Mais pour qui vous vous prenez ? Ces livres sont une collection originale importée d’Italie, comment osez-vous les poser sur le sol de la sorte…. Et pour qui vous vous prenez pour fouiller dans mes boîtes, si ce n’est pas pour mettre en place la décoration du manoir… »

Une collection importée d’Italie ? Un manoir ? Treize n’était pas sûr d’avoir tout compris, mais il était certain d’avoir fait une bêtise et ce monsieur ressemblait encore plus à Brenner maintenant, avec ses bras croisés et son air mécontent. Il eut peur un moment, de se retrouver à nouveau en isolement, ou pire. Il se releva, réfléchissant très vite à un moyen de se sortir de ce mauvais pas.

« Les livres sont faits pour être regardés, non… ? »

C’était un peu naïf comme remarque, Treize avait bien compris que ces livres-là étaient spéciaux, même s’il n’avait pas vu pourquoi. Restait à répondre à la question, pour qui il se prenait ? C’était une drôle de question parce qu’il n’avait pas l’impression de se prendre pour qui que ce soit, mais ça méritait quand même réflexion. Cela dit, ne voyant vraiment pas ce que le monsieur voulait dire il finit par éluder un peu la question.

« Je m’appelle Treize. C’est une jolie maison ! »

Il tenta un sourire, peut-être que s’il se montrait gentil, cela lui éviterait des problèmes ?
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MessageSujet: Re: A new day, a new discovery   A new day, a new discovery EmptyDim 7 Jan - 22:18







Adam n’en croyait tout simplement pas ses yeux. Ce gamin était-il vraiment là à lire à travers ses livres anciens et dispendieux ? À Manhattan, Wellington n’avait jamais été témoin d’un aussi grand manque de respect de la part d’un employé de maison. Il ne pouvait dire quel âge il avait, sauf que ce n’était certainement pas un adolescent ou un enfant. Il avait l’âge pour comprendre et bien faire son boulot. « Vous êtes l’enfant de qui ? Parce que je ne vous paie pas pour lire. » Il suggérait qu’il pouvait être l’enfant d’un de ses employés s’il était aussi irrespectueux. L’homme fronça sévèrement les sourcils face à la présentation qu’il venait de lui faire. « Treize ? Faut croire que dans cette ville, il n’y a pas honte à se foutre du personnel…. Alors suivez once et douze et retourner travailler… » Dit-il en soupirant. La tension se relacha de ses épaules tellement il en restait découragé. « Et pour votre gouverne, je suis Monsieur Adam Wellington, le propriétaire des lieux, donc, j’attends de vous un respect et un bon ouvrage sinon… je ne pourrais pas vous garder, vous comprenez… » Il voulait avoir l’air plus aimable que sa présentation un peu sèche. Était-il retardé ? C’était possible, dans des petites villes comme celle-ci, c’étai monnaie courante.

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MessageSujet: Re: A new day, a new discovery   A new day, a new discovery EmptyMer 10 Jan - 17:12


Le monsieur avait l’air furieux, et ce n’était pas les petites explications de Treize ou sa tentative pour briser un peu la glace qui allait y changer quoi que ce soit. Il semblait y avoir comme une incompréhension entre eux deux, sans qu’il ne sache trop pourquoi. Juste parce qu’il avait feuilleté un vieux livre ? C’était quand même un peu étrange, non ?

« Je ne suis l’enfant de personne. »

C’était vrai, Treize n’avait jamais connu ses parents, pour autant qu’il sache, il avait toujours vécu dans le laboratoire. Et il doutait de croiser un membre de sa famille de si tôt, est-ce que ses parents étaient en vie ? Est-ce qu’ils avaient tenté de le retrouver ? Il ne le saura probablement jamais. Mais déjà, le monsieur le détournait de ses réflexions avec une nouvelle plutôt incroyable. Il lui demanda d’aller travailler avec onze et douze.

« Onze et Douze sont ici ? »

Immédiatement, il regarda autour. Il y avait pas mal de monde, est-ce que certains d’entre eux était des sujets du laboratoire ? En tout cas, si c’était le cas, ce bonhomme était peut-être une sorte de sauveur qui protégeait Onze et Douze en échange d’un travail. Ce serait super, mais Treize ne percevait rien de spécial émanant des gens qu’il pouvait voir.

« Et pour votre gouverne, je suis Monsieur Adam Wellington, le propriétaire des lieux, donc, j’attends de vous un respect et un bon ouvrage sinon… je ne pourrais pas vous garder, vous comprenez… »
« De… D’accord. »

Treize s’empressa de remettre les livres italiens dans leurs cartons, il n’avait pas exactement tout compris. Mais si Onze et Douze étaient là, il fallait qu’il les voie, et pour ça, il fallait que ce drôle de bonhomme le garde. Pour les tâches qu’il y avait à faire, ça n’avait pas l’air bien compliqué, mais il s’était déjà fait rejeter de tellement d’endroits qu’il se méfiait quand même. Il fallait qu’il soit discret, minutieux, et obéissant, comme les autres personnes qui gravitaient autour d’eux. C’était dans ses cordes, sûrement.

« Je vais chercher d’autres boîtes ! »

Après un dernier sourire, Treize laissa là Adam et reparti en direction des camions, il passa un moment à porter des cartons, parfois aidé par d’autres pour les meubles lourds. Personne ne faisait vraiment attention à lui, il y avait trop de gens différents pour qu’on le remarque. Par contre, il avait beau chercher, il ne vit pas l’ombre d’une personne comme lui, d’où qu’il regarde. Il commençait à se dire qu’il y avait peut-être eu un malentendu quelque part, mais ce n’était pas grave, c’était amusant de voir cette maison se remplir peu à peu.

Il était occupé à déballer de la porcelaine avec une employée, enfin, il faisait surtout péter le papier bulle, quand il vit Wellington passer à nouveau dans le coin. Il aurait voulu lui reparler de Onze et Douze, mais doutait que ce soit une très bonne idée. C’est alors qu’une dame pressée passa en portant un vase à l’air aussi lourd que précieux, et se prit les pieds dans un tapis aussi luxueux que traître. Treize avait tout vu, il bondit, et avec une petite aide discrète de ses pouvoirs, il rattrapa la fille d’un bras et le vase de l’autre. Ça s’était passé trop vite pour vraiment voir la triche, mais quelques employées tournèrent vers lui un regard surprit.

« C’est bon, rien de cassé, vous pouvez nous garder. »

Il regarda Wellington de haut en bas, avant de signaler.

« C’est dangereux de mettre du tissu par terre. »
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