△ nom : Sullivan. △ prénom : Arnold. △ autre(s) prénom(s) : aucun. △ Surnom(s) : le Singe pour les plus habitués, le Veilleur (dédiés aux professionnels) & Nold. △ date de naissance : 25 mai 1959. △ lieu de naissance : Los Angeles ; Californie. △ Origines : que de l'amerloc. △ Taille : 1m 79 (pour un poids lourd mais une petite minceur). △ Cheveux : noirs & un tier coloré (rouge, ou bleu, ou rose...) △ Yeux : marrons. △ lieu de résidence : dans une chambre louée du motel d'Hawkins. △ Études : études supérieures dans le milieu scientifique (physique-chimie et sciences de la terre). △ métier(s), occupations : gardien de nuit dans l'hôpital d'Hawkins. △ orientation sexuelle : asexuel & demi-romantique. △ statut social : célibataire. △ groupe : the twilight zone. △ rang : le déni total.

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△ Profil psychologique : Arnold est un phénomène sur pattes. Difficile à gérer, mais facile à adopter. Son entourage se divise en groupes de ceux qui s'attachent à lui, ceux qui le supportent – réservé aux vieilles connaissances – et ceux qui ne peuvent pas se le voir en peinture. En général, la première impression donne déjà non pas un avant-goût, mais une idée complète de la chose : Nold, c'est un type bien, mais ô combien catastrophique par moments et efficace lorsqu'on s'y attend le moins. Vous l'aurez compris : c'est une infatigable machine à idées farfelues et aux habitudes étranges. On s'y fait, ou on ne s'y fait pas. C'est un vrai bout-en-train quand les choses l'intéressent. Habité d'une forte curiosité, le Singe ne respecte pas les limites lorsqu'elles sont « inutilement imposées » - c'est à dire qu'il ne va rien se passer de grave s'il traverse votre chambre alors que vous êtes en train de vous changer ; c'est pas la fin du monde, quoi. Il n'est pas pour autant sans-gêne, mais tout de même un brin envahissant et parasite sur les bords. Se servir dans le frigo non plus, c'est pas un drame ! Il y a tout de même une large différence entre être poli et familier. Ainsi, Arnold est donc les deux. Peut-être pas très courtois, mais toujours attentif à ce qui déplaît – si vraiment, il vous aime bien.

C'est à croire qu'il ne sait faire que des bêtises, et encore moins travailler. Détrompez-vous, car Nold fut un très fort passionné de sciences. Les exercices de lycée étaient drôles, ça il va pas cracher dessus. Bien qu'il ne puisse se vanter d'un poste de scientifique quelconque, il a tout de même son matériel du petit chimiste sans danger à la maison. Ainsi, il peut profiter de veiller toute la nuit à l'hôpital pour faire mumuse avec quelques éprouvettes... rien de bien dangereux, il n'a encore rien fait explosé jusque-là. C'est pourtant un froussard. Oh ça, oui, Arnold est un froussard. Il a peur quand le danger est certain. S'il venait à apprendre et comprendre – et croire ! - qu'il existait là dehors une créature odieuse qui résultait en la cause de ces étranges phénomènes, soyez certain qu'il finirait par se cacher dans sa petite maison, bien à l'abri et sans jamais ressortir. Arnold favorise largement ses chances de survie plutôt que les risques à, peut-être découvrir la vérité, mais aussi mettre en danger sa propre existence. Tout les prétextes seront ainsi bon pour être utile à l'intérieur et échapper à l'extérieur.

Mais on en est pas encore là...

Socialement, Nold est divisé. Il peut être fort sympathique comme rancunier pour trois fois rien. Faut le garder en tête : il reste encore un grand enfant dans l'âme. Il est également très tactile. Les câlins d'hommes #nohomobro, c'est son domaine. Il aime faire équipe avec autrui, et pour lui, une amitié peut toujours atteindre des sommets très solides. À l'inverse, s'il n'aime pas la personne, il pourra toujours la considérer comme rivale, ennemie, ou que sais-je encore : là alors se réveillera un esprit de la compétition fort prononcé. Arnold veut toujours avoir raison face à ces gens-là, et acceptera difficilement la fatalité si tout est là pour lui prouver qu'il a tort. La plupart des gens qui ne se sont pas fait de lui un ami sont des personnes moins ouvertes d'esprit que lui, qui ont du mal à se faire à sa tordue personnalité... mais comment les blâmer ?

Nold est un cinéma ambulant, c'est à retenir. Et si même la moitié de la ville ne le connaît pas, vous vous souviendrez toujours de lui après l'avoir rencontré au moins une fois ; la voix forte et portante au loin, toujours là à déblatérer des idioties, même s'il est sérieux.

△ Caractéristiques physiques particulières : Grand gaillard qui a poussé jusqu'au mètre 79, Arnold n'est ni une montagne de muscles, ni une petite crevette – c'est la forme du torse, ne vous y trompez pas. On le reconnaît facilement, avec sa tignasse coiffée-décoiffée, noire comme l'ébène et colorée de moitié en rouge, bleu, ou rose... Cette teinture, il ne l'achète pas, il la fabrique – ouep. Avec son kit du petit chimiste. Ainsi, c'est pas cher, pas ultra endurant, et il en change comme il veut. Rien de toxique, autrement sa tignasse aurait déjà fondu. Pour en revenir au corps en général, Nold a une force physique bien présente, mais rien qui ne s'apparente à de quoi soulever de la fonte. Ses muscles sont tout ce qu'il y a de plus commun – le fait qu'il est plutôt sportif doit y être pour quelque chose.

La peau claire, il bronze facilement – mais on a pas trop l'occasion, à Hawkins, hein. Elle ne marque pas aisément en cas de blessure, et même la moindre pâleur est difficile à distinguer lorsqu'il tombe fort malade – visez les yeux, c'est le plus simple pour en être sûr. Parlant d'yeux, ces derniers sont affublés d'une simple couleur marron, plutôt sombre et sans grand intérêt pour les reflets lumineux – en d'autres termes, ses iris sont tout bêtement quelconques, allez pas lui dire « t'as d'beaux yeux, tu sais », c'est faux. En plus, Arnold est myope, mais alors... ! Myope comme une taupe, et pas des moindres ! C'est bien simple : vous lui ôtez ses lunettes, il reconnaît plus personne. Et plisser des yeux pour distinguer les détails, ça ne marche pas, ça sert juste à nous rendre ridicule. Ne jouez pas à les lui piquer, ça ne le fait pas rire – et si en plus il ne vous aime pas, roh là là...

Une barbe naissante recouvre en grande partie son menton et le reste de sa mâchoire. Il veille à ne jamais trop raser, sinon ça lui donne un surprenant aspect de retour au lycée. Il ne porte ni bijoux, ni autres accessoires superflus comme des broches, bracelets ou autres colliers porte-bonheur... Non, Nold s'habille comme un type qui ne suit pas la mode, c'est tout. Préfère les chemises à carreaux et les jeans. Ce n'est pas avec sa garde-robe que vous le reconnaîtrez dans la rue. Il n'est pas bien à l'aise dans les costumes, en revanche, il adore porter des blouses – le côté mad scientist qui ressort, m'voyez. Comme quoi c'est pas pour rien qu'on dit que l'habit ne fait le moine : et pourtant, Arnold travaille, on vous le jure... En revanche, l'uniforme de gardien de nuit lui va plutôt bien.

△ Autre chose à savoir sur ton personnage :

J'suis pas misogyne, mais... - Arnold n'est pas très copain avec les femmes, mais en effet, ce n'est pas de la misogynie. Tout vient de sa grande soeur, qu'il bassine de bêtises et autres interactions comme dans toute relation fraternelle. Ce n'est pas qu'il trouve la gente féminine bête et dépendante ; juste qu'il n'est jamais parvenu à s'entendre avec l'une d'entre elles. Arnold ne haït pas les femmes : c'est elles qui le haïssent. C'est maladroit et involontaire, mais il est toujours maladroit avec ; voire à l'extrême, carrément insupportable.

Le petit chimiste - Comme dit plus tôt, Arnold est un petit féru des sciences. Il aime ça, ça lui plaît, on est content pour lui. Et contrairement à ce qu'on pourrait croire, il est tout ce qu'il y a de plus sérieux là-dessus. Les postes de chercheurs au laboratoire lui ont été refusés pour des raisons sans justifications... et on sait très bien lesquelles ; pour le coup, c'est pas plus mal qu'il n'en sache rien, et qu'il n'y travaille pas. Tant pis, au moins il a le bureau de gardien pour lui tout seul à l'hôpital. Et jamais on ne pourrait venir le déranger pendant qu'il fait sa popote.

Demi-romantique - En plus d'être asexuel (c'est-à-dire aucune attirance pour golo golo dans la case), Arnold éprouve rarement l'envie d'aimer ; tout simplement parce qu'il reste très enfant dans sa tête. Pour lui, être en couple est parfaitement optionnel, mais il n'est pas non plus dépourvu d'une éventualité à aimer et être aimé. C'est juste que parmi ses objectifs dans la vie, ça passe en dernier plan. De plus, Arnold n'a pas spécialement de préférence entre les hommes et les femmes - mais là encore, tout dépendra d'avec qui il créera un lien très fort.

Esprit, es-tu là ? - Nold a une raison d'être ici : ses deux meilleurs amis de toujours ont disparu. Il ne sait d'où, ni comment, mais ce qui s'est au départ transformé en battue solitaire est devenu son quotidien. Plus le temps passe, plus son inquiétude s'évapore et il s'imagine trouver un jour ses potes en pleine forme et bonne santé. Ce qu'il ne sait pas, c'est que les dites personnes sont en fait piégées dans l'Upside Down. Après, vivantes ou mortes, aucune idée...